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    Cette rubrique vous est consacrée, à vous qui parcourez ce site du bout de la souris. Vous êtes invité(e) à me faire parvenir, par e-mail ou courrier postal, vos impressions, questions, attentes, vos meilleurs et pires souvenirs de TREC, vos sujets de révolte ou coups de coeur passionnés...

     

    Nouveau courrier d'Isabelle Rochelle, le 16 juin 2006

    Stage POR dimanche 4 juin 2006 à la Ferme de Bel-Air à Montreuil le Gast (35).

    Deux semaines pour faire un compte-rendu c'est long mais j'ai des excuses. Nadia a déjà relaté cette journée : cf moera.free.fr > contenu > sommaire > stages > calendrier.htm (c'était à moi d'écrire plus vite, toujours aussi lente, Isabelle !!!). Mais Nadia m'a fait plaisir en me titrant de " chroniqueuse officielle des stages de TREC ", pour une fois que j'ai un titre ; les mauvaises langues vont dire " la piplette de service ". Ensuite, " nous mitonnera " : gâteaux, confitures, je sais faire ; " un petit compte-rendu " : çà va être dur, rappelez-vous je délaye beaucoup (la farine, les œufs, le sucre) et je suis comptable alors je sais plutôt rendre des comptes.
    Enfin, " de derrière les fagots " alors là c'était le plus dur parce que dans la ferme j'ai déjà eu du mal à trouver les fagots, j'ai utilisé carte, boussole, questionné les résidents, et après avoir enfin trouver les fagots, j'ai eu des difficultés à reconnaître le dos du devant de ces fagots.


    Mais bon après toutes ces émotions, la comptable qui rend des comptes va prendre son clavier et taper un compte-rendu (pas petit car c'est mal parti avec une intro comme çà le développement et la conclusion vont prendre des proportions……)

    Tout d'abord, bravo aux deux garçons qui ont bien voulu se joindre à une équipe de filles toujours aussi importante. Un groupe du Bois de Soeuvres nous a fait la sympathie de venir participer à ce stage ; les cavaliers du Val Froment et de la Ferme de Bel Air ont eu aussi voulu apprendre à s'orienter.


    A 9h30, les stagiaires se sont présentés et Nadia a commencé par nous expliquer la salle des cartes, l'intérêt de recopier un tracé de manière assidue avec un crayon d'une couleur et d'une épaisseur adaptées, en repérant les pièges susceptibles d'être rencontrés sur le terrain. Le tracé nécessite un matériel important tel qu'un compas, une " règle-rapporteur 360° ", une calculette… Bref on se croyait en septembre en classe de terminale scientifique avec le prof qui vous donne la liste des fournitures à acheter. Mais un exercice topographique va très vite nous démontrer que si l'on veut mettre toutes les chances de son côté, ces achats ne sont pas superflus (chez décathlon ils vont être en rupture de matériel d'orientation……) et que les personnes scientifiques ont un avantage sur les littéraires car règle de trois, calcul rapide aident lors d'un TREC. Après toutes les explications nécessaires pour les 20 minutes que l'on a en "Salle des cartes" lors d'un concours, Nadia nous a initié à la boussole, comment ne pas perdre le nord, même si l'on va vers le sud. Nadia nous a aussi montré son matériel de maréchalerie, sa pharmacie, son matériel de signalement …, bref le minimum obligatoire sans alourdir son cheval.

    L'après-midi, exercice concret avec " la course à la balise ". Pendant la pause déjeuner chaque groupe de cavaliers trace sa carte avec soin en repérant les pièges, en notant les lettres déjà données et en découvrant R, E, A, à l'aide de phrases telle que: " le point R se situe à 900 m du point Z, 940 m du point I, recoupement de secteur Sud ". Sans le matériel cité plus haut, bon courage ! Chacun a pu lire BEL-AIR sur sa carte alors maintenant à cheval, 6 km à l'heure en trouvant les balises (et les bonnes) sans avoir peur des balises humaines, en prenant les passages obligatoires : le piquet rouge à droite et le blanc à gauche, en repérant les problèmes de carte comme à la " Dorbelais " (bien vu Nico), en se méfiant des fous sur la route, en apprenant à son cheval que "ce n'est pas le moment de brouter", et ensuite relier les lettres B-E-L-A-I-R par le chemin le plus judicieux et dans un temps donné, tout cela sans laisser tomber sa carte, sa boussole car on perd du temps et remonter vite à cheval quand on a trouvé une balise et poinçonné sa feuille, que l'on a bien pliée et rangée dans la poche de gauche alors qu'on la cherche dans la poche de droite. Après cette longue phrase, je sens les sourires sur les lèvres car automatiquement, ce genre de choses vous arrive. Et le sourire, la bonne humeur étaient sur tous les visages à l'arrivée. Les chevaux étaient zen, tout le monde est bien rentré : tout va bien.

    Voilà, un bon dimanche ensoleillé où chacun a pu apprendre, se perfectionner, prendre des petits " trucs " qui seront utiles bientôt lors du TREC officiel de la Ferme de Bel Air à Montreuil le Gast. Ce stage a été rondement mené par Nadia avec un POR d'un niveau … régional (!), les cavaliers se sont très bien débrouillés et étaient visiblement très content de leur journée. Pascal-Yves et Gwenola ont su nous accueillir avec la cordialité qui leur appartient.


    Des projets d'autres stages avec Nadia ont été évoqués : on attend les dates !!! Avant ça, concrétisons notre apprentissage par la participation au TREC du 02/07/2006* : cavaliers, bénévoles, visiteurs sont invités à cette journée. On vous attend car à BEL-AIR on aime voir du monde, que chacun s'amuse à sa manière, rigolades, joies, plaisanteries : on sait faire.

    Isabelle

    * ATTENTION! La date du prochain TREC à Montreuil le Gast a été modifiée... l'épreuve ne pourra avoir lieu en juillet et sera donc reportée à la rentrée 2006-2007... à suivre.

    Réponse: encore une fois merci, Isabelle, pour ton travail de secrétariat, et à très bientôt pour de nouvelles aventures! (avec, cette fois, des difficultés de niveau national (je vous ferai découvrir le "coup du Nain de Jardin", innovation 2006 introduite à Venesmes !) et des tronçons à 12 km/h (une vitesse facile à gérer, si si!!! ça se fait tout seul: 1km = 5' tout rond!)

     

    Courrier d'Isabelle Rochelle, le 16 mai 2006

    Un petit compte-rendu du stage de PTV qui a eu lieu samedi 6 mai 2006 à la Ferme de Bel-Air. Ce stage était animé par notre championne nationale de TREC : Nadia FONTAINE (sans oublier Clovis, son joli cheval Palomino, car un TREC se gagne en couple : qui n'était pas là, parce que " je sais pas ").

    Nous étions 14 participants et je devrais écrire participantes car la gente masculine était absente. On n'excuse pas les gars car ils auront vite fait d'argumenter que ce jour-là ….
    Bref, les cavalières sont des cavalières du Val Froment à Liffré, de la Ferme du Faire à Cheval à Parcé et bien sûr de la Ferme de Bel-Air à Montreuil-le-Gast.

    La matinée, (très tôt pour un samedi : 9h00, moi qui dort jusqu'à 11h00 ce jour-là) a démarré par un " tour de table de présentations " autour d'un café (on se réveille tant bien que mal). Nadia s'est présentée et nous a expliqué le déroulement de la journée.
    Les filles parlant peu (si si) chacune part brosser et seller son cheval et tout le monde se retrouve dans la grande carrière. 14 couples et des chevaux qui ne se connaissent pas pour certains ; Zabelle flippait sur son Marmous de peur qu'il ne fasse son ZAZOU. Et ben non, les 14 chevaux et poneys ont été sages.
    7 ateliers PTV ont été mis en place par Nadia, 7 groupes de 2 cavalières se sont naturellement formés. Nous avons ainsi pu nous entraîner à certains obstacles de PTV avec en plus les conseils et les " trucs " d'une personne expérimentée. La matinée s'est terminée par un petit parcours PTV sur lequel nous sommes passées chacune notre tour. Nadia a ainsi pu nous conseiller l'une après l'autre sur nos points à travailler.

    L'heure de l'apéro est arrivée et Pascal-Yves et Gwenola ont comme toujours su être à la hauteur et nous avaient préparé des désaltérants très sympathiques. Certaines cavalières de l'extérieur ont adoré le pommeau de la ferme (je n'ai pas les noms, elles pourront revenir).
    On a mangé notre pique-nique (le petit dèj était très loin) en parlant un petit peu. Après je croyais qu'on faisait une sieste car le samedi, surtout quand on se lève tôt, on doit, on devrait…. Et ben, non à peine le temps d'aller aux toilettes " sèches " et Nadia appelle " tout le monde dans le PTV " (le terrain des shetlands, à l'entrée du bourg).
    Nadia nous propose un parcours avec des options en mains pour celles qui ne veulent pas sauter. 8 cavalières keep-cool partent en premier et sont notées par les autres sur une dizaine d'obstacles et inversement.
    Avant le départ, Nadia nous a expliqué chacun des obstacles et nous a donné des petits " trucs " pour mieux réussir un PTV. Les règles de notation nous ont été expliquées.
    Chaque couple de cavalière/cheval s'est très bien débrouillé et un classement amical sera dévoilé par Nadia à la fin de cette charmante journée ensoleillée.

    Nadia est très sympathique et très professionnelle car elle a su reconnaître les points forts et les points faibles de chaque couple et a, je pense, répondu aux attentes de chacune d'entre nous.
    Merci donc à Nadia mais aussi à Gwenola et Pascal-Yves, à Vincent et aux cavalières de l'extérieur.
    Même si les cavaliers masculins n'étaient pas présents à ce stage, ils sont conviés à celui du 4 juin sur le POR (Parcours d'Orientation et de Régularité). Nadia se fera un plaisir de nous apprendre les techniques de cette partie du TREC . Venez nombreux participer ou regarder.
    N'oubliez pas de vous inscrire pour le 2 juillet en tant que participants et/ou bénévoles. Il y aura du monde car c'est un TREC officiel.

    Des photos ont été prises pendant le stage, j'espère que ceux qui les ont prises penseront à les mettre sur le site de la ferme de Bel-Air.

    A bientôt,
    Isabelle

    Réponse: Je te remercie beaucoup Isabelle pour ce "compte-rendu" très sympa; fais-moi signe si tu reçois les photos, je les ajouterai également! Encore merci et à bientôt, pour apprendre cette fois à garder le cap!

     

    Courrier de Yann Platon, le 4 mars 2006

    Bonjour Nadia,

    Puisque tu oses nous avouer que tu as participé au 1er championnat de France des Jeunes à Lathus avec un sablier, je me permets de te donner mon truc pour le suivi des vitesses en POR.

    J'utilise une montre-chrono avec compte à rebours (chrono de cross) que je règle pour un intervalle de temps correspondant à 500 m à la vitesse imposée (5 mn pour 6 km/h par exemple).

    L'avantage de ce système par rapport à ce que tu indiques, c'est que tu n'as pas besoin en permanence de consulter ta montre, tu es averti tous les 500m théoriques par un signal sonore (il y a même un premier signal 30 s avant d'arriver au 500ème mètre).

    De plus, le chrono comptabilise le nombre de comptes à rebours effectués et te l'indique.

    Je porte sur mon itinéraire une indication tous les 500 m, il me reste alors à vérifier quand j'arrive à cette indication que mon chrono a "bipé" : s'il a bipé avant, je suis en retard, s'il n'a pas encore bipé, je suis en avance.

    Je le règle pour 500 m car sinon l'étalonnage de la carte prendrait trop de temps.

    De plus, comme le chrono affiche le temps configuré pour les 500 m et le temps écoulé, il est possible de se situer sans problème sur une base de 250 m ...

    Bien sûr, cette méthode est la meilleure ! En tout cas, elle permet de se consacrer entièrement à la lecture de la carte et l'examen du paysage, le positionnement horaire étant uniquement sonore.

    Yann PLATON

    ***

    Réponse: Bonjour Socrate!

    Voilà donc une autre façon de procéder, sans doute très répandue sur le terrain, puisque j'ai déjà moulte fois entendu "bipper" dans les fourrés ou sur les points de contrôle; l'avantage du procédé est qu'il est facile de se procurer un chrono de cross disposant de cette fonction "compte à rebours", et, comme tu le dis, il évite d'avoir à se référer visuellement à la montre pour savoir "où on en est". En revanche (ben ouais évidemment, j'ai pris des actions chez Casio, je vais pas lâcher le bout de gras comme ça), il ne permet pas une précision en-deça des tranches de 250 mètres... reste à calculer combien cette marge d'erreur peut entraîner de pénalités de temps, en comparaison avec la marge d'erreur de la montre podomètre... il faudrait créer
    un logiciel d'évaluation des pénalités de temps potentielles induites par la marge d'erreur par portion de 500 m, sur des tronçons de longueurs variées et en fonction de la vitesse idéale imposée, avec des tableaux en 3D et les courbes exponentielles correspondantes... si tu fais ça, je m'engage à (essayer d') en faire autant afin que l'on puisse mener une étude comparative
    scientifique appuyée sur des données objectives, et savoir enfin quelle est la meilleur méthode pour gratter l'autre sur un POR!

    Autre avantage de l'affichage de la distance: sur un parcours "azimut-distance", je n'ai qu'à additionner les distances du tableau et entrer mon "code" (m/minute) pour me recaler à chaque carrefour par rapport à la vitesse idéale, en vérifiant que le nombre total de mètres parcourus correspond à la somme des distances indiquées sur le tableau.

    Et toi, comment fais-tu pour conserver ta vitesse idéale sur un parcours en azimuts-distances?

    Réponse de Socrate :

    Euh ... je vais voir ce que je peux faire pour le modèle tridimensionnel sur l'apprche des différentes méthodes d'estimation des pénalités de retard, tenant compte de la vitesse du vent, de la pression barométrique, de l'âge moyen des contrôleurs et bien sûr de la désynchronisation des chronomètres sur une période de 1000 ans (j'hésite à prendre en compte aussi la déclinaison magnétique ...)

    Je pense que d'ici 12,6 ans je serais en mesure de fourir l'algorythme, suivant la puissance des ordinateurs à cette époque, il est raisonnable d'envisager un résultat complet de cette étude pour le 17 juin 2019.

    On se tient au courant sur les différentes épreuves.

    Pour les azimuts-distances, je fais la somme sur mon papier des distances et à chaque nouvel azimut, je vérifie avec mon chrono et cette somme comment je me positionne. L'avantage sur ce type de tronçon, c'est qu'on est plus généralement à des vitesses imposées inférieures à 10 km/h et que le cheval est généralement étalonné au trot ce qui laisse du temps à chaque azimut pour faire le point.

    A part ça, j'aime bien ta description de l'espèce "Homo Erectus Caballus Trecus", surtout la subtile différence entre les individus mâles et les individus femelles.

    A bientôt.

    Yann PLATON

     

    Courrier de Sophie, le 4 janvier 2006

    Bonjour et bravo pour ton site.

    Je continue cette année les compétitions TREC, et j'ai lu attentivement tes conseils en ce qui concerne le POR... Je fais partie des "galériens" qui utilisent des chronos, des tableaux de vitesses... donc ton histoire de podomètre m'intéresse!! Mais j'avoue que j'ai pas tout compris. Tu utilises une montre podomètre... au début tu règles 100cm de foulées. (Ça correspond aux foulées de ton cheval au pas? et si tu trottes ou galopes, ça marche aussi?

    La montre t'affiche donc le nombre de mètres parcourus, et le nombre de minutes écoulées.... au début tu lui rentres aussi la vitesse en mètres par minutes... ce qui veut dire que sur ta montres tu auras :

    - le temps qui s'écoule

    - la distance que tu as faite

    - la distance idéale... et donc là tu peux ajuster, trop rapide ou trop lent - ou ai je mal compris?

    Quel modèle de montre utilises tu? (marque, prix...) est-ce VRAIMENT fiable? Merciiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiii de tes explications !

    Sophie

    http://chevaux-de-loisirs.over-blog.com

    ***


    Réponse: Bonjour !

    Alors, en effet, il va peut-être falloir que je développe, car, si c'est une technique très simple à mettre en place - qui fait gagner un temps précieux et évacue beaucoup de stress sur le POR ! - ce n'est pas si évident à décrire :

    Tout d'abord, le modèle de la montre : pour ma part il s'agit d'une casio JC-10 achetée environ 25-30 euros à Décathlon, et mon ex-monitrice - Régine pour les intimes - tournait avec le modèle suivant, trouvé sur commande à Décathlon, de référence JC-11 et pour le même prix environ. J'ai cependant retrouvé le premier modèle (qui n'apparaît pas sur les nouveaux catalogues casio) chez un vendeur de montres à Rennes, qui n'était pas spécialisé Sport, comme quoi, quand on fait du TREC, il faut savoir fouiller partout.

    La montre Casio JC-11 en image...

    Il doit exister de nouveaux modèles à présent, ce qu'il faut rechercher c'est une montre affichant la distance parcourue (en mètres si possible, plus lisible qu'en kilomètres) sur le principe du podomètre, mais sans capteur : on se fiche royalement de connaître la réelle largeur et le nombre de foulées du cheval - ou du cavalier ! - puisque le calcul de la distance se fait sur la base fictive de 1 foulée=1 mètre (cette donnée est demandée au moment où l'on programme la montre ; le mode d'emploi fourni avec la montre explique bien tout ça).

    Ainsi, l'allure choisie (pas, trot, galop) n'a aucune influence sur le décompte des foulées (=mètres) qu'effectue la montre, à partir de la vitesse idéale que l'on enregistre en début de tronçon.
    Je vais essayer d'être plus concrète (c'est pas évident !) :

    Voici les " codes " selon les vitesses imposées (c'est-à-dire le nombre de mètres/minute correspondant à la vitesse donnée en km/heure)

    6 km/h = 100 ; 6,5 km/h = 110
    7 km/h = 115 ; 7,5 km/h = 125
    8 km/h = 135 ; 8,5 km/h = 140
    9 km/h = 150 ; 9,5 km/h = 160
    10 km/h = 165 ; 10,5 km/h = 175
    11 km/h = 185 ; 11,5 km/h = 195
    12 km/h = 200

    Tu peux constater qu'il n'existe pas de références pour les vitesses 5 et 5,5 km/heure, mais à cette vitesse (que l'on rencontre rarement - terrains délicats - et qui ne dépasse pas le pas) on peut continuer à fonctionner avec le vieux tableau de vitesses des familles.

    Concernant la fiabilité de la montre, hormis le risque de choc à la descente ou montée de cheval qui peut interrompre le chrono (risque facilement multiplié par 10 avec un chronomètre " traditionnel " !), sachant que les " codes " sont échelonnées de 5 en 5, la marge d'erreur maximale (avance ou retard sur le temps idéal) ne dépasse pas la minute par heure, et on connaît rarement des tronçons de plus d'une heure, donc tout est relatif, le plus important reste de savoir interpréter le tracé, l'usage de la montre recentrant considérablement la prise de tête sur l'élément clé de la topographie : la carte.

    Voilà, j'espère avoir été plus claire, et je te souhaite bonne chance et bon courage pour tes TRECs en 2006.

    A bientôt !